Le traité avait pour objectif de délimiter « les régions sous-marines » du golfe de Paria qui sépare Trinité-et-Tobago, alors colonie britannique, du Venezuela. L'accord fixait ainsi trois segments depuis les bouches du Dragon jusqu'aux bouches du Serpent. Les surfaces délimitées respectaient vaguement ce qu'aurait pu donner une ligne d'équidistance.