Il m'est arrivé de rencontrer, par accident, des magnats de la finance. Je les ai observés de mon mieux. L'un avait trusté une seule industrie, mais dans le monde entier ; un autre possédait des usines, des journaux, des compagnies de navigation et régnait sur un peuple nombreux d'ouvriers et d'employés ; un troisième prêtait de l'argent à une dizaine d'États réputés indépendants et qu'il « contrôlait ».