…car la chose que les écoliers amnistient le moins facilement, c'est la soupe du pensionnat. Aucune de leurs colères n'est plus opiniâtre que celle-là, ils oublient les pensums, ils oublient les retenues, ils pardonnent même aux pions de l'établissement : ils ne pardonnent jamais à la soupe. C'est une haine qui ne s'éteint qu'à la sortie ; et encore !