incommoder

Définitions

Incommoder employé comme verbe

  • Mettre dans un état incommode.
    • Être, se sentir un peu souffrant.
      • Absolument
      • À la voix passive
    • Être gêné dans l'usage d'une fonction de son corps.
      • À la voix passive
    • Être victime de déboires.
      • Familier
      • À la voix passive

    Exemples

    […], et les préparatifs aériens et navals, sur l'East River, étaient grandement incommodés par la multitude des vapeurs pleins d'excursionnistes qui apportaient le secours de leurs acclamations.

    — H. G. Wells, La Guerre dans les airs, 1908, traduction d'Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, Mercure de France, Paris, 1910, page 213 de l'édition de 1921

    Il est incommodé par la chaleur.

    — H. G. Wells, La Guerre dans les airs, 1908, traduction d'Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, Mercure de France, Paris, 1910, page 213 de l'édition de 1921

    Être incommodé par les bruits de la rue.

    — H. G. Wells, La Guerre dans les airs, 1908, traduction d'Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, Mercure de France, Paris, 1910, page 213 de l'édition de 1921

    Il ne peut rien souffrir qui l'incommode.

    — H. G. Wells, La Guerre dans les airs, 1908, traduction d'Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, Mercure de France, Paris, 1910, page 213 de l'édition de 1921

    Cet homme a un asthme, une toux qui l'incommode beaucoup.

    — H. G. Wells, La Guerre dans les airs, 1908, traduction d'Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, Mercure de France, Paris, 1910, page 213 de l'édition de 1921

    Il est incommodé depuis plusieurs jours par un rhume.

    — H. G. Wells, La Guerre dans les airs, 1908, traduction d'Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, Mercure de France, Paris, 1910, page 213 de l'édition de 1921

    Être incommodé d'un bras, d'une jambe.

    — H. G. Wells, La Guerre dans les airs, 1908, traduction d'Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, Mercure de France, Paris, 1910, page 213 de l'édition de 1921

    Être incommodé dans ses affaires.

    — H. G. Wells, La Guerre dans les airs, 1908, traduction d'Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, Mercure de France, Paris, 1910, page 213 de l'édition de 1921