Lawrence Wright, l'expert d'Al-Qaïda pour le New Yorker, démythifia l'argument de la NSA, selon lequel la collecte de métadonnées aurait pu empêcher le 11-Septembre, en expliquant que la CIA « refusa de communiquer des renseignements vitaux au FBI, qui détient l'autorité suprême pour investiguer sur le terrorisme à l'intérieur du territoire des États-Unis et sur les attaques contre des Américains à l'étranger ».